Le paradoxe d'Achille (et de la tortue) étendu à la politique. La tortue serait ici l'objectif énoncé / ou pas (exemple : maintenir un Etat-providence / Vivre sous un régime autoritaire).
Enoncé : "Présenter chaque abandon parcellaire comme n'étant pas en soi décisif " (ou le faire croire grâce à une propagande) sans jamais convenir qu'on vise à détruire / mettre en place le sujet en question (souveraineté, régulation de l'économie, services publics de "qualité", éducation de "qualité", défense de "qualité", ...).
Par exemple, dans la lutte pour le rétablissement des dépenses publiques, chacun a à coeur de décrire sa part de budget comme étant une goutte d'eau dans l'océan budgétaire.
Ou encore, vu du côté de ceux qui subissent cette logique, il y a la métaphore de la grenouille dans un bac empli d'eau brûlante ou qui s'échauffe progressivement.
Ce devrait être le rôle des médias, dont les journalistes, d'étudier les tendances ainsi développées, au regard de l'existant ou de la direction prise. Au lieu de cela, les médias sont rachetés par des milliardaires qui... JSCOB...?